TITLE_NAME :
Edouard Taufenbach - Spéculaire
16/03/2018 - 05/05/2018
BINOME
19 rue Charlemagne
75004 Paris
galeriebinome.com
text in French only)
d'après la Collection Sébastien Lifshitz
Poursuivant les expérimentations plastiques d’après photographie vernaculaire – depuis les séries CINEMA : histoires domestiques (2016-17) et Hommage2 (2015) – Edouard Taufenbach puise ses matériaux dans la collection de photographies anonymes du réalisateur Sébastien Lifshitz.
La sélection d’images retient l’épanouissement des corps nus ou à demi, en vacances au bord de l’eau ou sur les terrains de sport, dans l’intimité de la chambre et du jardin. L’hédonisme est de mise, et c’est dans cette liberté des courbes, des lignes et des motifs, qu’Edouard Taufenbach construit une autre dimension spatiale et séquentielle pour ces photographies anciennes. Agencement méticuleux de dizaines de fragments noirs et blancs, minces lames brillantes de papier photo, les collages jouent de la déformation et de la démultiplication des points de vue, créant des effets stéréoscopiques. Dans cette approche jubilatoire d’appropriation et de transformation des images planes et passéistes, Edouard Taufenbach partage sa fascination pour l’image amateur, vécue comme support de projections et de désirs.
16/03/2018 - 05/05/2018
BINOME
19 rue Charlemagne
75004 Paris
galeriebinome.com
text in French only)
d'après la Collection Sébastien Lifshitz
Poursuivant les expérimentations plastiques d’après photographie vernaculaire – depuis les séries CINEMA : histoires domestiques (2016-17) et Hommage2 (2015) – Edouard Taufenbach puise ses matériaux dans la collection de photographies anonymes du réalisateur Sébastien Lifshitz.
La sélection d’images retient l’épanouissement des corps nus ou à demi, en vacances au bord de l’eau ou sur les terrains de sport, dans l’intimité de la chambre et du jardin. L’hédonisme est de mise, et c’est dans cette liberté des courbes, des lignes et des motifs, qu’Edouard Taufenbach construit une autre dimension spatiale et séquentielle pour ces photographies anciennes. Agencement méticuleux de dizaines de fragments noirs et blancs, minces lames brillantes de papier photo, les collages jouent de la déformation et de la démultiplication des points de vue, créant des effets stéréoscopiques. Dans cette approche jubilatoire d’appropriation et de transformation des images planes et passéistes, Edouard Taufenbach partage sa fascination pour l’image amateur, vécue comme support de projections et de désirs.